Nous sommes la Peste de cette planète, quel galère. nos villes demangent sa peau. Elle voudrait se gratter mais comment le beton recouvre les sols. Nos bateaux entachent sa vue. Nos batiments déchirent la beauté de ses traits. Ils la trouent comme la galle notre peau. Quelques fois ses anticorps surgissent afin de purifier sa peau. Mais cette galle s'inumise à ces tempêtes.
L'océan et les mers croquent la plage et les terres de ce monde d'une mâchoire puissante.