• Histoire

    Par ici ce sont des petites histoires hm... 

    Je crois que j'essaye tout de même d'en faire quelques choses, il y a plus ou moins des liens entres quelques textes. (J'éclaircirais cela) 

    Aussi ce sont parfois de vielles histoires, avec ma vielle main, mes vieux mots, ma pauvreté de style quoi. 

    Néanmoins, si  je vous les laisse c'est que je suppose qu'il y a un petit bout d'histoire ? 

     

    Pleins de love pour vous (Je suis d'humeur bien... heureuse ? On va dire ca x) )

  • J'ai prié j'ai prié. Pourquoi la lumière luit encore ? J'ai prié de toutes mes tripes. 

     

    Une jeune fille se réveilla sur son lit mortuaire. La faucheuse était clémente. 

    Elle se remémore son songe : une ville in mediasres-figé. Un vent faible, un passager et une rose qui poussait, lentement. Elle l'avait intrigué mais la prenait pour une autre, à chaque fois. Un jour de son rêve, la fillette cueille la rose, qui à son dépérissement accomplis- la filette était distraite pas le dieu, sa négligence partagée lui fire oublié la rose- elle se reveilla sur son lit mortuaire. La faucheuse se dira touché par la négligence, quant à l'erreur-sur-la-personne. Cela passerait inapercu.

    La fillette tient la rose près de son cœur. 

     

     


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  • Au milieu d'un temps fixe, une petite fille s'agite. Des vents immobilisés lui susurrait des orientations "par ici... par là... "  parfois très sec "Là-bas !". Elle se retourne, ne serait-ce que ses pensées qui s'échappent de sa bouche ?  

    Il y avait bien des hommes, mais personne n’avançait. Pareillement à des statuts, une petite fille pense d'abord se trouver sur un champs de bataille post-volcanique. Herculanum n'a-t-elle pas finit figé dans son temps ? 

    Il y avait bien des oiseaux mais semblait-il si bien ficeler au ciel, qu'aucun ne tomba ou se laissa porter par un vent quasi-inexistant. Une petite fille s'égare sur la propreté des lieux. 

     Aussi bien les battisses d'un petit village, que ses villageois, sans avoir ressenti le sursaut de l'arrêt, sans finir leur processus individuel : l'un expirait, l'autre inspirait et celui-ci -Bon dieu ! Quel tête- semblait outragé par ce qu'il regardait. Juste en face, sa femme et l'amant se quittait des lèvres. 

    Une petite fille regarde tout ces portraits et s'agite, la pagaille "réveillerait" sans doutes ces endormis. 

    Elle grandit vite, et celui à l'affreuse tête tenait toujours toutes son indignation dans son visage. Timidement, elle entreprend de les allonger en leur foyer (Si elle les avait découvert, vielle fille, elles les auraient sans doutes enterrer... ) La première femme qu'elle tente de tirer dans un lit, lui fit perdre l’équilibre. C'est depuis ce moment là que celle-ci fût désormais sur le sol, dans une position, disons-le, peu confortable. Une petite fille obstinée essaye avec les enfants, puis avec une charrette sans les bœufs. Quel désordre a-t-elle mis, pour qu'un dieu négligeant retournant sur ses terres découvre avec stupéfaction une petite fille, bien agitée. 

    "Par ici !" Tête baissée, fonce en ligne droite, la jeune fille qui  semble éviter les regards des statuts se heurte à l'obstacle qu'elle n'avait pas encore rencontré. Elle connaissait, depuis, les chemins de la ville sans un regard. Un dieu paresseux s'amuse de voir une petite fille. Elle hurle et s'enfuit. 

    Une petite fille qui ouvrit l’œil dans un monde statique serait effrayé par la rencontre d'un dieu. Guidé par je ne sais quel protecteur "Retournes-y" et cela suffit, la voici qui revient sur ses pas.

    -Vous parlez ? Demanda-t-elle au dieu qui s'était à peine retourné. 

    -Je suis très bavard. 

    -Vous comptez ? 

    - Cela ne m'est pas nécessaire.

    Une petite fille s'approche trop prêt , d'un dieu bien patient. 

    -Vous êtes là depuis longtemps ? 

    -Oui.

    La petite fille prête l'oreille car elle crût entendre -par là- un vent, très faible qui se heurte à de nombreux obstacles. Le résonnement est si dense qu'elle ne sait pas bien d'ou il vient. Quand elle ne l'entends plus, reviens de nouveau sur ses pas, très proche d'un dieu. 

    -Vous n'êtes pas très bavard et vous ne bougez pas beaucoup. 

    Une petite fille agitée, s'étire et baille. Elle déambule dans le village, la tête haute vers le soleil figé et brûlant, ou les yeux rivé sur les fourmis qui ne bougeaient pas. Ces grands mouvements évitent d'écraser des fourmis. 

     

     

    Un dieu paresseux traverse le village, rencontre une petite fille agitée et s'en va. Il ne prit pas la peine de remettre ce village sur la ligne du temps, ni de s'occuper de sa propre négligence. 

     

     

     

     

    QUESTION  : 

     

    pourquoi un dieu a-t-il figé cette ville ? 

    Comment la petite fille a-t-elle ouvert les yeux - si un dieu a tout figé- ? 

     

     


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  • C'est une histoire que je vais essayer de raporter par ici, 

    Je l'ai entendu oralement par l'une de mes amis, qui, elle même l'avait entendu d'autre part.

    Alors, je ne sais pas bien d'ou sort cette histoire, sans doutes déjà découverte par plusieurs cerveau simultanément ou non ? 

     

    C'est un homme qui se réveilla en Enfer. Il y a un chemin, qui lui semble adéquate, alors il le suit et tombé né à né avec un baobab avec des feuilles déroulable à rouler. Il tend la main pour en saisir une, et par un coup de vent celle ci tombe au sol. Il se baisse pour la ramasser, cette fois si il tombe sur des plante de weed. Il décide de se servir, après tout un joint de beuh cadeau, on ne dit pas non. 

    Il roule alors son joint tout en continuant son chemin. Une main dans la poche en guise de recherche d'un briquet. Il n'en a pas. Il aperçoit un autre homme au loin, un joint à la bouche. 

    -Excusez moi, vous auriez un briquet ?

    Celui ci souris, et lui répondit :

    -Bienvenue dans l'enfer sans flamme.

     

    Prévisible jusqu'à la fin, n'est ce pas ?

     

     


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  •  Je t'attends, tu m'as dis d'attendre. Dis, tu te souviens de notre promesse ? Dis tu te souviens de nos rêves ? Dis, tu te souviens de moi ? Je t'attends. Dis, tu te rappelle de ce jour ? Nous avons marché, nous avons parcouru ce chemin tortueux. Tu te souviens de la pluie ? Tu te souviens du vent ? La mer, tu te rappelle de la mer ? Tu te souviens des rochers ? Nous avons couru, nous évitions les vagues. Il pleuvait, il y avait du vent, les vagues faisaient ma taille. Je t'attendais après chaque rocher passer. Je t'attends. Dis, tu te souviens ? Dis, tu te rappelle du bonhomme de neige ? Il neigeait. Une couverture blanche s'était installée sur notre village. Il faisait froid, mais nous étions sorti faire ce bonhomme de neige. Dis, tu te souviens ? Tu as éternuer tant de fois, ton nez coulait, il était rouge. Mais tu ne voulait pas rentré avant d'avoir fini. Tu attendais. Dis, je me souviens de ce jour. Il faisait si chaud. Il n'y avait aucun nuage dans le ciel. Le soleil brillait de toute ses forces. Tu souriais. Je souriais. Nous savions tout deux que tu allais partir, mais nous sourions. Tu te souviens de cette chaleur assommante ? Tu te souviens du chat qui traversait la route à ce moment ? Tu te souviens des oiseaux qui volait dans les cieux ? Tu te souviens de mon visage ? Tu te souviens lorsque nous nous sommes enlacer ? Je me souviens. Tu pleurais n'est ce pas ? Tu souriais mais tu pleurais. Tu m'aimais ? Je t'aimais et je t'ai dit que je t’attendrais.


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  •   Un jour je me suis réveillée, j'étais allongée sur un lit, j'avais un bandage à mon œil. Je n'avais aucun souvenir avant ça. Je me levai, et vis une rose noir et une lettre, je ne comprenais pas ces mots. Ces lettres c'était quelque chose d'inconnue pour moi. Je gardai cette lettre et cette rose noire. J'étais dans une pièce vide. Je ne savais pas depuis combien de temps j'étais ici, ni ce que je faisait ici. Il n'y avait pas de porte, pas de fenêtre. J'étais dans une pièce vide, les murs étais blanc, le sol étais blanc, le lit ou j'étais allongée à disparu, je ne vois plus rien, tout est blanc. A ce moment je me demandais ou j'étais.Je ne pouvais plus ouvrir les yeux la luminosité m'en empêchait. J'enlevai le bandage que j'avais l’œil, mais rien ne changea.


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  •    Deux semaines ont passé, après cet incident. Durant ces deux semaines je suis resté à ses côtés. Au fur et à mesure que le temps passait, ses blessures cicatrisé, son œil saignait encore sur sa douce joue blanche. Ce sang vif caressait cette joue pâle. Son souffle était régulier et anormalement lent. Un jour sa respiration s'est brusquement accéléré, elle transpirait, des larmes coulait de son œil qui ne saignait pas et des mots rapide s'échappait de ses fines lèvres "Ne pars pas !" Je ne voulais pas la voir comme ça, si faible si seule.. Quand cette évènement apparu je l'ai serré dans mes bras lui disant "Ne t'en fait pas" Pouvait-elle m'entendre ? Je ne sais pas, mais à ces mots, sa respiration ralenti et repris une allure régulière, et sa dernière larme s’effaça. Cette jeune fille dormais depuis deux semaines, on venait de lui arraché son propre œil. Et sa mère s'est arrachée son propre œil et nous la fait mettre à sa fille, après quelques jours cette pauvre femme mourut de ses blessures.. Nous l'avions enterrer mais..comment allions nous annoncé cela à cette enfant. En attendant, elle est là, à dormir. J'attendrais son réveil au près d'elle. Je me demande qu'elle est son prénom, sa voix.. J'ai promis à sa mère, Alice de prendre soin d'elle. De la protégé de son mari.. Je deviendrai son cavalier servant, et elle sera la princesse..

      Nous sommes seules ici, dans ce donjon tout en haut de la tour, elle est ma princesse, je suis son serviteur.J'attends son réveil à ses côté. En attendant je lui caresse doucement ses beaux cheveux soyeux. J'attendrais son réveil.  Un jour un dieu de la mort est apparu devant moi..et m'a demandé sa vie. je lui ai alors répondu "non, c'est ma princesse". Il m'a dit qu'il était un dieu de la mort, et qu'il ne me laissait pas le choix, et qu'il veut la vie de ma princesse.  Je lui ai demandé d'au lieu de prendre sa vie à elle de prendre le reste de ma vie, il m'a dis qu'il était d'accord, mais comme je vais mourir dans deux ans, il m'a dit qu'elle ne vivra que deux ans de plus. Je lui ai dit que ça m'allait.Il m'a demandé si j'avais une dernière volonté, je lui ai demandé de scellé mon cœur dans une rose noir et la déposé à côté de ma princesse. Pour la dernière fois je lui caressa ces cheveux, et déposa un baisé sur son front. Le dieu de la mort, faucha mon âme et scella surement mon cœur dans une rose, la déposant à côté de ma princesse.

     


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  •    Dans une église d'un petit village de campagne. Une jeune fille âgée d'une quinzaine d'années; aux cheveux bruns coiffés de deux tresses longues laissant échapper quelques mèches rebelles sur son visage affinée et pâle faisant ressortir ses yeux vairons; elle ne se trouvait pas dans cette église par hasard; elle priait. 
          "Aa.. dieux pourquoi ?" chuchotait-elle, une larme coula lentement le long de sa joue gauche.  Pourquoi pleurait-elle ? Nul ne le sait. Et puis qui est cette jeune fille ? Elle ferma les yeux, et une autre larme s'évada de son même œil, son belle œil vert. Elle commença à pleuré, que de cet œil, elle s'écroula au sol, tout en serrant dans sa main un pendentif, répétant ces mots "Kamisama...nande..?" Elle fermait les yeux, et répétais..ces mots.. jusqu'à qu'elle s’endormit, là dans cette petite église peu fréquenté.

        Quand, elle ouvrit ses yeux, elle contempla qu'elle se trouvais dans une vaste pièce blanche, vide, trop lumineuse, elle s'était réveillé là dans ce sol aussi blanc que la neige, là ou les murs aussi sont aussi blanc que la pureté. Elle regarda autours d'elle, pour s'assoir contre le mur, lâchant un léger soupire..Avait-elle l'habitude de cette pièce si fade ? Tout ce qu'elle pouvait faire ici, était attendre..Elle ferma les yeux, attendit et s'endormit de nouveaux.

       A une heure inconnue, elle rouvrit ses yeux, se réveillant dans un triste cimetière, elle tenait un paquet de roses noires et blanches; elle déposa ces fleures sur une tombe "Kokonose Alice" Une autre larme s'enfuit de son œil vert, elle joignit ses mains, ferma les yeux, et pria. Ainsi une longue prière débuta. Quand elle rouvrit les yeux elle souriait. "Si tu veux pleurer, pleure mais souris toujours."

      

     

     

     


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  •         C'était un vendredi, le jour ou ma mère est décédé pour ne pas que ma mort ai lieu si tôt. Son dernier cadeau est son œil couleur azur et sa vie. Son mari m'avait pris mon œil droit. Ce jour là, il avait en fait découvert que je n'étais pas sa fille biologique mais de sa femme et d'un esclave. Il frappait ma mère lançant des jurons; et, quand je suis arrivée, il s'acharna sur moi m'arrachais mes cheveux avec ses grosses mains poisseuse; me fouaitais, du sang couleur vive coulait à flot; ma mère en larmes, essayait de l’arrêter mais que pouvais faire une pauvre femme si faible face à se monstre ? Une gifle et elle tombait à terre... Elle s'écroula donc au sol, elle n'était pas morte, du moins pas encore...

     Il avait toujours un bâton à la main et me frappait, je m'écroulais au sol mais il me relevait en me tirant les cheveux; il me plaqua au mur, effleura doucement ma joue avec un poignard, du sang se mêla à mes larmes, son couteau arrivé à mon œil; il le planta dans mon poignet contre le mur. Je hurlais de toutes mes forces, personne ne venait. Je tombais mais ma main accroché au mur m'en empêcher, je me débattais, je hurlais ,je pleurais.. Mais tout ce qu'il fit; c'est de rire.. Étant accroché au mur, je ne pouvais presque plus bouger, je perdais Trop de sangs..

       Après quelques minutes en me regardant souffrir, il s'agrippa à la tignasse de ma mère, la trainant par les cheveux. Je ne voulais pas voir. Je ne pouvais rien faire.. Je la voyait là, souffrir, être traité comme une bête.."Arrêtez ! Je vous en supplie arrêtez !" Suppliais-je.. "Tu ne veux pas voir ? Soit." A ces mots il lâcha ma mère et s'approcha de moi. Je ferma les yeux, mais ouvrit mon œil droit pour voir qu'il plongea son doigt dans mon œil, et me l'arracha,Par réflexe j’ouvris mon œil gauche pour voir qu'il tenait dans sa main mon œil émeraude. A cette vision je m’évanouis sous le choque et la douleur.


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